Comment se passera mon intervention dans votre école ?

Un conteur à l'école
Un conteur à l'école

Les élèves sont informés par courrier quelques jours avant de ma venue dans leur école.

 

Le plus souvent, une séance de conte, en élémentaire, réunit deux à trois classes de même niveau, ou au moins de même cycle, dans une salle type salle vidéo.

 

Mes différents répertoires sont en effet adaptés à chaque cycle et à chaque âge.

Pour les cycles 3, il est par exemple, possible de raconter des contes merveilleux plus longs et de structure plus complexe, permettant une première approche de la littérature de l'imaginaire que les élèves étudieront en 6e. Il est aussi plus facile de raconter des contes facétieux ou des contes de mensonges, les cycles 3 ayant déjà une bonne connaissance des codes sociaux dont la transgression est souvent source d'humour dans les contes. Il en est de même des contes de mensonge, qui jouent avec des conventions du langage.

 

Dans la salle où les contes seront racontés, les élèves seront disposés en arc de cercle autour du conteur pour permettre un meilleur contact public / conteur. On évitera évidemment une disposition en rangées du type "salle de classe" à l'ancienne!

 

Lorsque mon intervention concerne toute une école, je donne généralement deux représentations le matin et deux l'après-midi, ce qui permet de conter pour huit à dix classes dans une journée.

 

Je préfère ainsi préserver le caractère intimiste du conte, que l'on perdrait en réunissant un trop grand nombre d'enfants dans une salle de spectacle. 

 

Ce type d'intervention permet en général un échange avec les élèves, en fin de représentation, sur l'art du conte, le métier de conteur, la mémorisation des histoires, le travail de préparation des racontées etc.

 

( Mes tarifs sont calculés au nombre d'élèves concernés par mon intervention et non au nombre de représentations )

 

Attente vis-à-vis des enseignants

 

Il est évident que l'écoute est d'autant plus attentive et profitable aux élèves que les enseignants sont aussi, eux-mêmes, impliqués dans cette écoute et motivés dans un projet autour du conte. 

 

Les enseignants doivent évidemment réguler tout problème de discipline éventuel. Mais ils ne doivent pas pour autant décourager les réactions "normales" d'un public, telles que les rires si les contes sont effectivement amusants.